peinture aux pixels
bientôt
ce qu'on voit ici:
ce qu'on lit ici
portrait de Carl de Châteauneuf par Charlène Ménès et David Levron
en permanence
ce qu'on trouve ailleurs:
atelierclaudefrancheteau@orange.fr
L'atelierclaudefrancheteau
Choisir c'est renoncer.
Devant le rayon "style et identité" du super marché de l'art, Claude Francheteau hésita longtemps.
Partagé entre son amour de la peinture classique et sa farouche volonté de jouir aujourd'hui d'une expression sans cesse renouvelée, il finit par renoncer à renoncer et embrassa à nouveau la carrière en créant l'atelierclaudefrancheteau en Janvier 2011.
La création de ce groupe d'artistes supposés répond à l'exigence revendiquée d'une diversité d'expression.
Réaffirmant l'indépendance du créateur vis à vis de la signature stylistique ou mercantile, cette entité se positionne dans le champ de l'art en prenant sérieusement une position dégagée. Cette alternative rassemble des personnalités différentes et axe ses travaux sur l'art et ses moyens.
Imaginé dans un besoin de donner de la visibilité à toutes les parts de la créativité de chacun de ses membres (peintres, dessinateurs, poètes,photographes,plasticiens...) le "crew" fédère la part de liberté de chacun.
Tous ont pour point commun d'être ambidextres et d'avoir un rapport avec la ville de Nantes ( France).
Ces personnages aux identités singulières se distinguent dans leurs productions réelles par des signatures individuelles et complémentaires.
"Je suis trop nombreuse pour savoir exactement qui je suis." Félixe Ross
Les notions sous-jacentes:
Le rôle social du personnage artiste
La question du style
Le marché de l'art
L'identité créatrice
L'artiste versus le collectif artistique
La notion d'école
La schizophrénie de l'art
Le subterfuge
Alors?
Une escroquerie qui ne dit pas son nom, blague potache ou réelle proposition d'un artiste engagé dans une démarche sincère ?
La réalité dit tout à la fois, notre solitude et notre pluralité, multiples et singuliers.
Carl de Chateauneuf
portrait de Carl de Châteauneuf par Charlène Ménès et David Levron